Il existe une surmortalité importante après 80 ans liée aux événements fracturaires tels que les fractures du col du fémur, mais cela a été démontré également pour les fractures vertébrales, de l’extrémité supérieure de l’humérus ou du tibia, du bassin, du fémur distal ou de trois côtes simultanées.
Cette notion de fractures ostéoporotiques « sévères », en raison de leurs conséquences sur la morbidité et surtout sur la mortalité des malades dans les années qui font suite à l’événement fracturaire, a motivé une révision des recommandations du traitement antiostéoporotiques postménopausique
Source : JIM.fr – Ostéoporose postménopausique : traiter selon le degré de fragilité