L’exposition à une souffrance extrême affecte durablement la façon dont le cerveau perçoit la douleur.
Une telle découverte suggère que le cerveau de personnes durement affectées par une souffrance ou une douleur extrême serait ainsi capable de développer une forme d’hyper-vigilance face à des situations vues comme potentiellement dangereuses. La perception même de la douleur au niveau cérébral s’en trouverait modifiée. D’autres facteurs explicatifs demeurent encore à exclure, comme la possibilité que ce changement de perception résulte d’un syndrome de stress post-traumatique non diagnostiqué.
Source : Le Cercle Psy, le magazine de toutes les psychologies