Depuis le film de Fritz Lang, Metropolis (1927), jusqu’à celui de John Hughes, Weird Science (Une créature de rêve, 1985)[1], l’idée d’un robot androïde (gynoïde) comme «compagne » de substitution a fait son chemin. Et elle est en passe de devenir une réalité au Japon (où l’équipe du Pr Hiroshi Ishiguro présente ainsi des « Geminoïdes »)[2] et en Chine[3] (où la pénurie de vraies femmes devient un grave problème de société)…
Or The American Journal of Psychiatry évoque un débouché a priori inattendu de ces créatures directement sorties de la science-fiction, moitié-bioniques et moitié-mécaniques : l’assistance aux personnes avec autisme !
Source : JIM.fr – Pourquoi pas un robot androïde pour aider les patients autistes
Cf soirée DPC du jeudi 17 mai 2018 : L’autisme et syndromes apparentés