Les Jeudis de l'Europe

Nous ne sommes savants que de la Science présente. Montaigne


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Précision de scores de décision clinique en cas de traumatisme crânien chez l’enfant | Minerva

Chez des enfants (moins de 18 ans) victimes d’un traumatisme crânien de toute sévérité, quelle est la précision diagnostique de 3 scores de décision clinique (PECARN, CATCH, CHALICE) dans des populations différentes de celles des études de dérivation (= validation) et comparativement l’un à l’autre ?

Cette étude diagnostique prospective dans une cohorte d’enfants âgés de moins de 18 ans se présentant (ou présentés) dans un service d’urgence pédiatrique pour un traumatisme crânien, montre une précision élevée des 3 scores de décision clinique évalués…

Source : Minerva


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Arrêt cardiaque extra-hospitalier : investir sur la formation de Monsieur et Madame Tout-le-monde | JIM.fr

La survie hospitalière après un arrêt cardiaque extra-hospitalier (ACEH) n’est que de 25 %, incluant les survies de faible qualité (états végétatifs…). Alors que la défibrillation précoce et les manœuvres de réanimation cardio-respiratoires (RCP) sur site sont primordiales, les effets […]

Source : JIM.fr – Arrêt cardiaque extra-hospitalier : investir sur la formation de Monsieur et Madame Tout-le-monde


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Les freins et motivations des médecins généralistes d’Isère et Savoie à la réalisation d’actes techniques cotés par la classification commune des actes médicaux : sutures, petite chirurgie, et gestes de dermatologie : enquête qualitative auprès de médecins généralistes installés

Une des principales missions du médecin généraliste est d’assurer un premier recours au patient. L’engorgement des urgences et les difficultés d’accès aux spécialistes tels que les dermatologues ont suggéré que les gestes de petite chirurgie et dermatologie pourrait prendre plus de place dans l’activité du médecin généraliste.

L’objectif principal était de déterminer les freins et motivations des médecins généralistes de Savoie et d’Isère à réaliser les gestes de suture, petite chirurgie et de dermatologie définis et cotés par la CCAM.

L’objectif secondaire était de déterminer les facteurs pouvant faciliter leur réalisation. Une étude qualitative par entretiens individuels semi-dirigés a été menée auprès de médecins généralistes installés en Savoie et Isère.

Un recrutement ciblé a permis d’obtenir une diversité maximale de l’échantillon jusqu’à saturation des données. L’analyse a été effectuée de manière indépendante avec approche inductivodéductive et réalisation d’un codage ouvert, triangulation des données, codage axial et contextualisation. Douze entretiens se sont déroulés du 19/11/2016 au 08/03/2017. La réalisation de ces gestes dépendait de la relation et communication entre un médecin généraliste et son patient. Le regard du médecin généraliste sur sa pratique en tant que premier recours et l’influence de ses conditions d’exercice intervenaient dans leurs réalisations. Les expériences personnelles et le parcours des médecins généralistes ont permis de déterminer des facteurs pouvant favoriser leur pratique.

Cette étude contribue à l’amélioration de la prise en charge des patients en explorant des modifications à apporter au système de soins ambulatoire actuel.

Source : Les freins et motivations des médecins généralistes d’Isère et Savoie à la réalisation d’actes techniques cotés par la classification commune des actes médicaux : sutures, petite chirurgie, et gestes de dermatologie : enquête qualitative auprès de médecins généralistes installés

Cf atelier 44° FML: Gestes techniques en dermatologie par le médecin généraliste


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Les futurs médecins généralistes pratiqueront-ils les sutures en cabinet de ville ?

Introduction : Les sutures font partie intégrante de la pratique des médecins généralistes. Cependant, on constate une diminution de la pratique de ce geste technique. L’objectif de cette étude est d’identifier les obstacles à la pratique des sutures par les internes de médecine générale.

Matériel et méthodes : C’est une étude épidémiologique, descriptive et analytique par questionnaire numérique sur internet réalisée auprès des internes de médecine générale d’Ile-de-France inscrits en TCEM 3 en juin 2015. Résultats : 227 internes ont répondu : 104 (45.8%) avaient suivi un enseignement supplémentaire (DESC, DU, …), 109 (48%) trouvaient la formation reçue au cours du DES de médecine générale insuffisante à l’apprentissage des sutures et 192 (84.6%) la trouvaient suffisante au cours des stages réalisés. 169 (74.5%) s’orientaient vers une activité en cabinet de médecine générale et 183 (80.6%) avaient la volonté d’en pratiquer alors que 166 (73.1%) pensaient réellement en réaliser dans leur future pratique. Les principaux obstacles identifiés étaient le temps trop important du geste (59.6%; p<0.01), la difficulté de respect des règles d’asepsie (18.7%; p=0.02) et le manque de formation (7.2%; p=0.03).

Conclusion : Malgré la volonté de réaliser des sutures dans leur future pratique, les internes de médecine générale font face à des obstacles, tel que le manque de formation et l’aspect chronophage du geste, qui tendent à diminuer cette pratique en ville. Des pistes d’aménagement peuvent être proposées: cours théoriques, formation continue, information des patients.

Source : Les futurs médecins généralistes pratiqueront-ils les sutures en cabinet de ville ?

Atelier Gestes techniques en dermatologie par le médecin généraliste. 44° FML des JdE


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Vers une manœuvre de Heimlich revisitée ? JIM.fr

L’obstruction des voies respiratoires due à l’inhalation accidentelle d’un corps étranger est une cause commune de décès, en particulier chez les personnes âgées.

La manœuvre de Heimlich est une intervention bien connue de premiers secours en ce cas. Le conseil européen de réanimation […]

Source : JIM.fr – Vers une manœuvre de Heimlich revisitée ?

Cf. atelier du 44° FML


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Un mythe de la médecine d’urgence : l’adrénaline dans l’arrêt cardiaque | coeur.net

Lors d’un arrêt cardiocirculatoire extrahospitalier, l’adrénaline à une dose « standard » peut favoriser le retour de la circulation spontanée, mais elle n’améliore pas la survie, ni l’issue neurologique du patient.

Le moment de l’injection de l’adrénaline, dans les 10 minutes, peut intervenir dans le pronostic du patient, cependant les gestes de réanimation de base restent les aspects les plus importants de la réanimation et de la survie des patients.

Source : Coeur – Le site de la Cardiologie